À Rumi
Dans ta lumière, j’ai appris à aimer,
dans Ta Beauté pour écrire de la poésie.
Tu danses dans ma poitrine
Là où personne ne peut te voir,
mais parfois je te vois,
et cette Lumière devient cet art.
À la fin de ma vie,
avec un seul souffle restant,
Si Tu viens, je me lèverai pour chanter.
À Jalal al Din Muhammad Rumi, à l’époque où il a composé son merveilleux “Masnavi”.